La pratique du baptême est enracinée dans l'Église chrétienne primitive, en suivant l'exemple donné par Jésus-Christ lui-même. Selon le Nouveau Testament, Jésus a été baptisé par Jean-Baptiste dans le fleuve Jourdain selon le récit de Matthieu 3:13-17. Cet acte était bien au-delà de un modèle pour ses disciples, mais également un événement marquant le début de son ministère public. La Grande Commission, évoquée dans Matthieu 28:19-20, met encore plus en évidence l'importance du baptême. Jésus instruit ses disciples de "faire de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit."
Le baptême possède une portée symbolique abondante. Il représente la purification de l'âme et la régénération du croyant dans une nouvelle vie en Christ. L'geste d'immersion dans l'eau signifie la fin et l'enterrement du vieil homme, tandis que sortir de l'eau symbolise la renaissance et la nouvelle vie. Dans de nombreuses confessions, ce sacrement est également vu comme une alliance solennelle entre le croyant et Dieu. C'est une déclaration publique de foi et un signe extérieur d'une mutation intérieure. Le sacrement est souvent entouré de vœux et de serments pris par l'individu ou, dans le cas du baptême des enfants, par leurs ascendants et parrains.
La Cène, connue également comme d'Eucharistie, est un second acte fondamental du christianisme. Elle rappelle le dernier festin de Jésus-Christ avec ses disciples et son sacrifice sur la croix. L'création de la pratique de la Communion est consignée dans les Évangiles synoptiques (Matthieu, Marc et Luc) et dans la Première Épître de Paul aux Corinthiens. Pendant la célébration du dernier repas, Jésus a rompu le pain et distribué le vin avec ses disciples, leur demandant de "faire cela en mémoire de moi" (Luc 22:19). Ce rituel a eu lieu pendant la fête juive de la Pâque, apportant des couches de valeur plus profondes. De la même manière que le repas de la Pâque rappelle la délivrance d'Israël de l'esclavage en Égypte, le repas de la Communion célèbre la délivrance des croyants du péché grâce au sacrifice du Christ.

Les dénominations chrétiennes ont des différences dans leur vision et leur exercice de la Communion. Dans les coutumes catholique romaine et orthodoxe orientale, l'Eucharistie est interprétée comme un sacrement associant la présence réelle du Christ dans les éléments du pain et du vin. Cette doctrine est connue sous le nom de transsubstantiation dans le catholicisme et est également vénérée dans l'orthodoxie. Les branches protestantes, quoique rejetant souvent la doctrine de la transsubstantiation, accordent toujours la Robe ceremonie fille Communion en grande considération. Elles peuvent la interpréter comme un symbole ou comme un moyen de recevoir la grâce de Dieu de manière spéciale. La fréquence et la manière de célébrer la Communion diffèrent également, passant de pratiques hebdomadaires à des usages mensuelles ou trimestrielles.
Bien qu'individuels, le rite de baptême et la communion sont étroitement entrelacés. Le sacrement du baptême commence le croyant dans la foi chrétienne, tandis que l'Eucharistie nourrit et renouvelle cette foi. Ensemble, ils embrassent tout le spectre de la vie chrétienne—du début du voyage spirituel à l'ongoing processus de croissance et de renouveau. Le sacrement du baptême et la communion fraternelle sont bien plus que de simples rituels; ce sont des témoignages profonds de foi et de dévotion. Ils expriment l'essence du message chrétien—la conversion, la libération et la communauté. En continuant d'respecter ces sacrements, les croyants se lient à le riche héritage de leur foi et l'héritage éternel de Jésus-Christ.